Souvent boudé car il est moins sucré et plus amer que ses cousins rouges ou jaunes, le poivron vert présente pourtant d’autres avantages gustatifs : moins mature, sa peau est plus fine et devient fondante à la cuisson. Par contraste, sa saveur exhauste le goût des ingrédients plus gourmands auxquels il se marie. L’amertume de sa chair n’est donc pas à redouter, le poivron vert ne demande simplement qu’à être cuisiné.
Dans ma recette de poivrons verts farcis « à l’espagnole », l’amertume du légume contrebalance les goûts sucrés des oignons caramélisés et salés du chorizo et des olives. Un délice dont il serait bien dommage de se passer… Alors, êtes-vous prêt à vous mettre au vert cet été ?
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Les Bricoles De Laura 